Coronavirus : comment le sang de dromadaire peut nous sauver ?

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Coronavirus : comment le sang de dromadaire pourrait-il nous sauver ?

La course au vaccin est toujours lancée et une nouvelle piste vient d’être soulevée par une équipe scientifique allemande et des anticorps de dromadaire. Zoom

Le monde entier a les yeux braqué sur ces scientifiques qui cherchent par tous les moyens à trouver un vaccin contre le Sars-CoV-2. Alors que la course est lancée plusieurs pays semblent sur la bonne voie, comme la Russie qui s’apprête à faire tester son vaccin sur des volontaires. Pourtant, dernièrement, la mutation du virus via les visons à ébranler les certitudes des scientifiques.

Une nouvelle piste à explorer

De leurs côtés les chercheurs Allemands de l’European Molecular Biology Laboratory à Hambourg ont mis en avant un anticorps qui pourrait bloquer de manière efficace le virus dans le corps humain. Publiée dans la revue Nature Communication, leur recherche met en avant un petit anticorps que l’on trouve chez les dromadaires et les lamas.

Cet anticorps serait, selon ces chercheurs, capable de bloquer le récepteur du virus en charge d’infecter les cellules. Une nouvelle piste qui semble prometteuse et moins coûteuse que pour rechercher des anticorps humains. D’autant qu’en avril dernier d’autres scientifiques Belges et Américains s’étaient intéressés aux anticorps de ces mammifères.

Comment ça fonctionne ?

En effet, ces animaux de la famille des camélidés sont connus pour produire des anticorps qu’aucune autre espèce ne peut créer. Fort de ce constat, ces scientifiques ont réalisé des tests en infectant, sans la rendre malade, une femelle lama nommée Winter avec le Sars-CoV-1 et le Mers-CoV, eux aussi des coronavirus.

Ils ont ainsi découvert l’anticorps VHH-72 qui possède une structure moins complexe que ceux des humains.

En quoi c’est une bonne nouvelle ?

Ces anticorps produits par les lamas et dromadaires sont “simples à reproduire”, explique Xavier Saelens, chercheur à l’Institut médical de biotechnologie de Gand, en Belgique et coauteur de l’étude sur Winter, relayée par Le Monde.

Des essais cliniques sur des hamsters et des souris vont débuter prochainement assure FranceInfo. De leur côté, les scientifiques Allemands l’European Molecular Biology Laboratory ont décidé de gagner du temps en cherchant parmi les petits anticorps synthétiques, aussi appelés “sybody” qui existent déjà.

Il semblerait qu’ils aient trouvé un “sybody” très proche et qui pourrait s’avérer très efficace contre la Covid-19. Affaire à suivre.

Source: .ohmymag.com

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