La pratique d’un sport et plus généralement le mouvement augmente les dépenses énergétiques et aussi les besoins en protéines.
L’équilibre de la balance énergétiques est à la base du principe même des régimes qui occasionnent des troubles endocriniens non négligeables dont les principales conséquences sont l’aménorrhée chez les sportives et des fragilisations musculaires et sur la fertilité par la baisse de production de testostérone chez les sportifs.
L’effort est donc un ennemi des protéines musculaires mais heureusement la phase de récupération est celle de la reconstruction et de la réparation en reconstituant le stock de protéines musculaires. Pendant cette phase notre corps a donc besoin de protéines!
Mais attention les protéines n’ont pas toutes le même intérêt nutritionnel ainsi les protéines animales sont préférentiellement utilisées par les muscles.
Les bons effets des protéines :
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Développement de la masse musculaire
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Meilleure adaptation à l’effort
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Bonne force musculaire
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Silhouette en conformité avec votre rapport poids /taille
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Amélioration de la mobilisation des potentiels énergétiques
Source: www.irbms.com
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version=”4.4.2″ column_structure=”1_2,1_2″][et_pb_column _builder_version=”4.4.2″ type=”1_2″][et_pb_text _builder_version=”4.4.2″ hover_enabled=”0″]Quelle quantité de protéinées ? du sport de haut niveau à l’activité physique de loisir…
Il est difficile d’établir des apports conseillés en protéine. Ceux-ci sont dépendant de nombreux facteurs tels que le niveau et le type de pratique physique, l’âge, l’hydratation, l’apport énergétique et le statut hydrique.
Les apports recommandés sont :
>>>Maitre mot : tenir compte de la pratique
– Chez les pratiquants d’activité physique de loisir*, différent peu de ceux de la population générale. Ils sont de l’ordre de 0,8 à 1,1 g/Kg/jour et sont couverts par 1 à 2 portions quotidiennes de viande, d’œuf ou de produits de la pêche, ce qui représente 8 à 12% des apports énergétiques quotidiens. L’augmentation du niveau de pratique peut toutefois justifier des apports équivalents à ceux des sportifs.
–Dans les disciplines d’endurance, les besoins sont de l’ordre de 1 à 1,2 g/Kg/jour, pouvant s’élever jusqu’à 1,4 g/Kg/jour chez les sportifs de haut niveau. En pratique deux rations protéinées (produits carnés, produits de la pêche, œufs…) chaque jour d’entraînement suffisent pour atteindre cette quantité dans le cadre d’une alimentation diversifiée.
– Dans les disciplines de force ces besoins protéinés sont de 1,3 à 1,5 g/Kg/jour. Ils sont légèrement augmentés dans le cadre d’une recherche de prise de masse musculaire jusqu’à 2 g/Kg/jour voire 2,5 g/kg/jour selon les auteurs. Cela représente concrètement un apport protéiné à chaque repas, renforcé éventuellement par une collation protéinée en récupération des séances d’entraînement.
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Source: www.irbms.com
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